Assiste.com - Sécurité informatique - Vie privée sur le Web - Neutralité d'Internet

cr  18.06.2013      r+  25.07.2022      r-  01.07.2024      Pierre Pinard.         (Alertes et avis de sécurité au jour le jour)

Accès au service de Web réputation Astra Malware Scanner - getastra.com


Intérêt du service de Web-réputation Astra Malware Scanner (getastra.com) Intérêt de ce service de Web réputation

Astra Malware Scanner - Web-réputation d'un site Web Astra Malware Scanner (getastra.com) - (Analyse objective, Agrégation, Audit domaine/serveur, Spam, SEO, Malwares)


Web-réputation d'un site Web. Service commercial à destination des webmasters pour permettre de garantir que leur site est sécuritairement sain (n'embarque pas de malware) et que son hébergement (son serveur) est à l'abri des attaques et pénétration par les cybercriminels (dont avec l'implantation d'outils, par Astra, de protections). Un site réussissant ces analyses a tout intérêt à le faire savoir (mais les idées que son contenu véhicule ne font jamais partie de ce type d'analyses et protections purement techniques). Les coûts étant très élevés, seuls de très grands sites font appel à Astra.



Astra Malware Scanner - Web-réputation d'un site Web





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Risques trompeurs


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Aucun navigateur moderne ne supporte, et ne supportera jamais « X-XSS-Protection header »


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Les résultats des 72+ services anti-malware de VirusTotal.


« Astra Malware Scanner » est une suite de sécurité destinée à être l’outil de sécurisation des sites Web, en particulier chaque fois que le webmaster utilise des technologies côté serveur. Toutefois, l'analyse basique gratuite qu'« Astra Malware Scanner » offre aux visiteurs d'un site est bien trop rapide et ne peut donc être significative. Elle se limite probablement à l'analyse de la page d'accueil du site.

Si un site Web est exclusivement basé sur du HTML pur, sans aucune technologie particulière (sans PHP, sans MySQL, sans Java, sans Ajax, sans .Net, sans Python, sans Ruby, etc.), il n’y a que les mises à jour du kit serveur (généralement le kit LAMP avec Linux, Apache, MySQL et PHP) qui doivent être suivies (que l’hébergeur doit suivre), il n’y a aucun risque du côté du code du site qui ne peut être pénétré/hacké.

« Astra Malware Scanner » offre aux webmasters un ensemble de fonctionnalités de sécurité pour leurs sites Web, en particulier en cherchant :

« Astra Malware Scanner » offre aux internautes la possibilité d'exécuter une analyse gratuite vraiment basique de la malveillance ou de la compromission d'un site Web, dont le résultat ne peut pas réellement être retenu en Web réputation du site analysé. On est très loin des analyses gratuites basiques offertes par Joe Sandbox ou Quttera ou Sucuri.

Avec cette offre basique gratuite offerte aux internautes, « Astra Malware Scanner » se crée un portefeuille de sites Web à démarcher pour leur proposer ses services payants.

D'autre part, dans une analyse connexe, avec un autre de leurs outils, on remarque qu'il est fait peur aux webmasters avec, par exemple, l'absence de « X-XSS-Protection header », or cette protection n'est pas et ne sera pas implémentée dans aucun navigateur Web moderne :

  • Chrome a l'intention de déprécier et de supprimer l'auditeur XSS

  • Firefox n'a pas et ne mettra pas en œuvre la protection X-XSS

  • Edge a retiré son filtre XSS

Dans un même ordre d'idée, « Astra Malware Scanner » fait encore peur aux webmasters à propos de certains cookies de session alors que le site testé (assiste.com) n'utilise pas de login d'utilisateur (il n'y a aucune notion de compte utilisateur) et donc aucun cookie de session.

Avec cette analyse, Assiste.com n'est sûr qu'à 63% ! Voir la capture d'écran.




  • Le site utilise-t-il HTTPS (SSL, TLS - ne pas confondre avec la cryptographie type TOR et les VPN) :
    Oui

  • Langue(s) du site :
    Anglais

  • Faut-il créer un compte :
    Non

  • Page de présentation de l'éditeur du site ou service (« À propos de nous » ou « About us ») :
    Ici

  • Page des mentions légales de la société éditrice :
    Le fournisseur ou prestataire d'un produit ou service qui ne présente pas sa forme sociale (existance légale et officielle en tant que société ou artisan) et qui ne donne pas ses numéros légaux d'inscription (en France, obligatoirement auprès de registres comme le RCS [Infogreffe] ou le RM et qui ne donne pas ses numéros SIREN ou SIRET, etc.) n'a aucune existence légale et, en cas de litige, vous ne pourriez exercer le moindre recours contre un fantôme. Aucune société n'a de raison de se cacher, à fortiori si elle est étrangère.

  • Page des termes et conditions (CGU) :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Page des End User Licence Agrement (EULA ou CLUF) :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Page des clauses vie privée (Vie privée et Données collectées) :
    Ici

  • Page des respect, application et paramétrage des clauses RGPD (GDPR - RGPD sanctions) :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Page d'explications sur leurs usages et gestions des cookies :
    Sans (ou pas trouvé)

  • URL de contact vie privée (privacy) :
    Sans (ou pas trouvé)

  • e-Mail de contact vie privée (privacy) : privacy@getastra.com

  • URL de contact générique :
    Sans (ou pas trouvé)

  • e-Mail de contact générique :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Nom/raison sociale de l'auteur/opérateur du site :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Adresse postale :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Contact téléphonique :
    Sans (ou pas trouvé)




Si le site Web pour lequel vous cherchez s'il est de confiance est un site marchand et que vous envisagez d'y acheter quelque chose, il y a une plateforme interbancaire qui s'interpose entre votre banque et la banque du vendeur en ligne.

Les transactions entre deux banques (en l'occurrence, la vôtre et celle du vendeur) ne peuvent absolument pas s'exécuter directement. Seuls des intermédiaires agréés par une banque centrale (la Banque de France en France) peuvent le faire. Ces plateformes interbancaires s'interposent donc entre l'acheteur et le vendeur.

Vous pouvez et devez identifier cet organisme interbancaire lorsqu'il s'interpose, car il va demander / vérifier auprès de votre banque si votre compte existe bien et si vous avez les moyens de payer le vendeur.

Pour bien faire, il faut vérifier si cette plateforme interbancaire est bien agréée par l'ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution). Cela se vérifie dans la base de données de l'Orias.

  • Orias

    Organisme pour le registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance.

    L'Orias est une association privée à but non lucratif, bénéficiant d'une délégation de service public. Elle est administrée par les représentants des secteurs assurantiels, bancaires et financiers sous la tutelle de la Direction Générale du Trésor. L'Orias tient le registre unique des intermédiaires.

  • ACPR

    Certains professionnels, notamment les établissements de crédit, les sociétés de financement, les établissements de paiement ou établissements de monnaie électronique, ainsi que les organismes d'assurance doivent être agréés par l'ACPR.

    Adossée à la Banque de France, l'ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution) est chargée de l'agrément et de la surveillance des établissements bancaires, d'assurance et de leurs intermédiaires, dans l'intérêt de leurs clientèles et de la préservation de la stabilité du système financier.

Réaliser une activité de banque ou d'assurance sans être agréé est illégal. À noter qu'un professionnel peut être agréé ou immatriculé dans un autre État membre de l'Union européenne et avoir une activité en France dans le cadre de la Liberté d'Établissement (LE) ou de la Libre Prestation de Service (LPS).

Relevez bien le nom du professionnel, puis :

Quant aux intermédiaires en opérations de banque et services de paiement (dont les plateformes de paiement en ligne), aux intermédiaires en assurance et aux intermédiaires en financement participatif, ils doivent être immatriculés auprès de l'Orias, un organisme indépendant de l'ACPR, qui tient le registre unique des intermédiaires.

Là encore, un intermédiaire peut être immatriculé dans un autre État membre de l'Union européenne et avoir une activité en France en Liberté d'Établissement (LE) ou en Libre Prestation de Service (LPS). Vous trouverez son numéro à 8 chiffres attribué par l'Orias sur l'ensemble des documents de l'intermédiaire ainsi que sur son site Web (dont dans toutes ses clauses et mentions légales). En cas d'absence ou de divergence entre son nom du domaine (son URL) et son nom affiché, soyez méfiant (une société peut avoir un nom du domaine différent de sa « raison sociale » si le nom de domaine était déjà pris ou sa « raison sociale » trop longue, etc.).

La plateforme de paiement en ligne fait intervenir la banque du vendeur, la banque de l'acheteur et le réseau du moyen de paiement utilisé :

  1. Réseau Carte Bleue
  2. Réseau Visa
  3. Réseau MasterCard
  4. Réseau American Express
  5. Réseau Paylib
  6. Réseau Cofinoga
  7. Réseau Diners Club
  8. Réseau PayPal
  9. Réseaux des chèques vacances et similaires
  10. Paiements par virements bancaires
  11. Paiements par mandats
  12. Etc.

L'l'Orias a en charge, entre autres, la demande, auprès de l'acheteur, de la double authentification.

La plateforme de paiement en ligne prend sa commission au passage payée par le vendeur en ligne.

Voir l'article complet sur l'Orias




De très nombreux services de commentaires produits ou services d'interaction/communication sont offerts totalement gratuitement aux webmasters. Ces services peuvent être confondus/assimilés à des outils de réputation des sites marchands ou des marchandises de ces sites. Cela n'a rien à voir avec la réputation Web. Il s'agit des services de commentaires à la :

Ces services sont souvent gratuits, car ils permettent l'espionnage, la collecte et la revente des données privées des visiteurs de ces sites. Il s'agit d'un marché extrêmement juteux. Voir, par exemple :







Voici l'accès aux recherches dans la totalité des « registres des sociétés » des « tribunaux de commerce » de toute l'Union européenne. Pour certains d'entre eux, le service minimaliste gratuit est libre d'accès, pour d'autres il faut malgré tout s'inscrire en créant un compte.

En ce qui concerne la sécurité préventive/curative, comme en matière de Web réputation d'un domaine (site Web), il est important de savoir qui est l'opérateur du dit domaine (la personne physique [un individu] ou morale [une société] derrière ce site Web). Le WHOIS d'un domaine peut donner le « régistrant » du domaine. Malheureusement, le « régistrant » est souvent un prête-nom qui enregistre le nom de domaine et, pire, le « régistrant » utilise, généralement, un service d'anonymisation, depuis le début du Web et, complètement scandaleux, des dispositifs de prétendue « protection de la vie privée » obligent désormais à cette anonymisation, protégeant les cybercriminels et mettant la totalité des internautes en danger.

Il faut obliger n'importe quel éditeur à se révéler sans intermédiaire, officiellement (comme dans toutes les formes de presse), avant l'achat d'un nom de domaine, et toute faute doit être punie règlementairement immédiatement (sans procès) de manière totalement dissuasive. Ce n'est pas un frein au développement du Web, bien au contraire, le Web actuel étant considéré globalement comme un milieu hostile et dangereux, qui fait peur à cause, entre autres, de cette invisibilité des ceux qui s'expriment publiquement.

Le Registre du commerce unifié européen est développé dans les différentes langues utilisées en Europe, mais la recherche se fait par pays. Entre parenthèses le/les pays principaux de l'Union européenne utilisant cette langue. Le code langue est celui de l'IETF à 2 caractères (codes ISO 639-1 [alpha-2]). Certains pays qui avaient préalablement bien développé leurs outils de recherches dans leur Registre du commerce ont conservé, simultanément, ces outils devenus localement populaires.

Le formulaire de recherches dans toute l'Europe est paramétré en français, mais vous pouvez changer la langue.

Web réputation - recherche d'une société dans les registres du commerce européens
Web réputation - recherche d'une société dans les RCS (Registres du Commerce et des Sociétés) européens.


Accès aux recherches dans les registres de quelques autres pays, essentiellement francophones.