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cr  18.06.2013      r+  25.07.2022      r-  01.07.2024      Pierre Pinard.         (Alertes et avis de sécurité au jour le jour)

Accès au service de Web réputation Google Safe Browsing - google.com


Intérêt du service de Web-réputation Google Safe Browsing (google.com) Intérêt de ce service de Web réputation

Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web Google Safe Browsing (google.com) - (Analyse objective, Malwares)


Web-réputation d'un site Web.



Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web





Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Message d'avertissement de blocage


Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Confirmation par l'antivirus installé sur l'appareil


Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Explication (drive-by download).


Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Les malveillances proviennent de sites tiers.


Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Globalement, Google semble trop permissif. Son métier et ses revenus financiers proviennent de l'accès qu'il donne aux sites, pas de leur blocage.


Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Ce site est sain, mais la rédaction du message de Google est... bizarre.


Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
Google Safe Browsing - Web-réputation d'un site Web
11 pages de ce site entrainent le téléchargement de malveillances dans les 90 derniers jours, mais ces malveillances provenaient de sites tiers (drive-by download), donc le site est considéré comme non suspect ???


Autres fonctions et comportements de Google Safe Browsing

Pour les autres fonctions et comportements de Google Safe Browsing, voir l'article :

Google Safe Browsing

En matière de Web réputation, les avis de Google semblent trop permissifs (le métier de Google est de donner accès aux sites Web, pas de les bloquer). Ses analyses sur un site donné, à un moment donné, arrivent à se contredire d'une ligne à l'autre. Voir la page « Google Safe Browsing ». La version incrustée dans les navigateurs (le plug-in) de « Google Safe Browsing » posait de graves problèmes d'atteinte à la vie privée (les plug-ins sont interdits depuis le 01 01 2017).

Le service de Web réputation de Google est désormais fournis par son service dit de « transparence », incluant les analyses techniques (antivirus, antiphishing, etc.) et les dépôts de plaintes/demandes de retraits, etc.

Note : Google Safe Browsing est devenu une fonction de Google Transparence qui ne donne plus le surplus d'informations qu'il donnait avant (date de cette modification pas repérée). Donc Google Safe Browsing et Google Transparence donne le même résultat. La note de 5 qu'avait Google Transparence est descendue à 3.

Google balaye (scanne) et analyse toutes les pages de tous les sites Web du monde, depuis sa création, le 04.09.1998.

D'autre part, Google a racheté le service multiantivirus en ligne VirusTotal, le 07.09.2012.

Google sait donc parfaitement, ou en tous cas, a tous les moyens de savoir, très exactement, quel est le statut d'un site Web et de chacune de ses pages.

Avec ces informations, Google a développé un filtre, Google Safe Browsing, que plusieurs Navigateur Web utilisent de manière native. Cela devrait permettre une navigation plus propre, plus sécurisée.

Ce que sait Google sur chaque site (enfin... ce qu'il veut bien rendre public en termes de sécurité) est consultable, en ligne, avec le formulaire ci-dessus.

Safe Browsing (Google Safe Browsing)
Safe Browsing (Google Safe Browsing) dans Firefox

Toutefois, les informations que donne Google semblent édulcorées et timides. On a l'impression que Google cherche le plus possible à éviter de bloquer des sites ou de les descendre ouvertement en flammes lorsqu'ils sont malveillants. Le cœur de métier de Google est de permettre d'accéder à des sites, qui sont son gagne pain grâce à sa régie publicitaire, la première du monde et de très loin.




  • Le site utilise-t-il HTTPS (SSL, TLS - ne pas confondre avec la cryptographie type TOR et les VPN) :
    Oui

  • Langue(s) du site :
    Français et toutes langues

  • Faut-il créer un compte :
    Non

  • Page de présentation de l'éditeur du site ou service (« À propos de nous » ou « About us ») :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Page des mentions légales de la société éditrice :
    Le fournisseur ou prestataire d'un produit ou service qui ne présente pas sa forme sociale (existance légale et officielle en tant que société ou artisan) et qui ne donne pas ses numéros légaux d'inscription (en France, obligatoirement auprès de registres comme le RCS [Infogreffe] ou le RM et qui ne donne pas ses numéros SIREN ou SIRET, etc.) n'a aucune existence légale et, en cas de litige, vous ne pourriez exercer le moindre recours contre un fantôme. Aucune société n'a de raison de se cacher, à fortiori si elle est étrangère.

  • Page des termes et conditions (CGU) :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Page des End User Licence Agrement (EULA ou CLUF) :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Page des clauses vie privée (Vie privée et Données collectées) :
    Ici

  • Page des respect, application et paramétrage des clauses RGPD (GDPR - RGPD sanctions) :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Page d'explications sur leurs usages et gestions des cookies :
    Sans (ou pas trouvé)

  • URL de contact vie privée (privacy) :
    Sans (ou pas trouvé)

  • e-Mail de contact vie privée (privacy) :
    Sans (ou pas trouvé)

  • URL de contact générique :
    Sans (ou pas trouvé)

  • e-Mail de contact générique :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Nom/raison sociale de l'auteur/opérateur du site :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Adresse postale :
    Sans (ou pas trouvé)

  • Contact téléphonique :
    Sans (ou pas trouvé)




Si le site Web pour lequel vous cherchez s'il est de confiance est un site marchand et que vous envisagez d'y acheter quelque chose, il y a une plateforme interbancaire qui s'interpose entre votre banque et la banque du vendeur en ligne.

Les transactions entre deux banques (en l'occurrence, la vôtre et celle du vendeur) ne peuvent absolument pas s'exécuter directement. Seuls des intermédiaires agréés par une banque centrale (la Banque de France en France) peuvent le faire. Ces plateformes interbancaires s'interposent donc entre l'acheteur et le vendeur.

Vous pouvez et devez identifier cet organisme interbancaire lorsqu'il s'interpose, car il va demander / vérifier auprès de votre banque si votre compte existe bien et si vous avez les moyens de payer le vendeur.

Pour bien faire, il faut vérifier si cette plateforme interbancaire est bien agréée par l'ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution). Cela se vérifie dans la base de données de l'Orias.

  • Orias

    Organisme pour le registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance.

    L'Orias est une association privée à but non lucratif, bénéficiant d'une délégation de service public. Elle est administrée par les représentants des secteurs assurantiels, bancaires et financiers sous la tutelle de la Direction Générale du Trésor. L'Orias tient le registre unique des intermédiaires.

  • ACPR

    Certains professionnels, notamment les établissements de crédit, les sociétés de financement, les établissements de paiement ou établissements de monnaie électronique, ainsi que les organismes d'assurance doivent être agréés par l'ACPR.

    Adossée à la Banque de France, l'ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution) est chargée de l'agrément et de la surveillance des établissements bancaires, d'assurance et de leurs intermédiaires, dans l'intérêt de leurs clientèles et de la préservation de la stabilité du système financier.

Réaliser une activité de banque ou d'assurance sans être agréé est illégal. À noter qu'un professionnel peut être agréé ou immatriculé dans un autre État membre de l'Union européenne et avoir une activité en France dans le cadre de la Liberté d'Établissement (LE) ou de la Libre Prestation de Service (LPS).

Relevez bien le nom du professionnel, puis :

Quant aux intermédiaires en opérations de banque et services de paiement (dont les plateformes de paiement en ligne), aux intermédiaires en assurance et aux intermédiaires en financement participatif, ils doivent être immatriculés auprès de l'Orias, un organisme indépendant de l'ACPR, qui tient le registre unique des intermédiaires.

Là encore, un intermédiaire peut être immatriculé dans un autre État membre de l'Union européenne et avoir une activité en France en Liberté d'Établissement (LE) ou en Libre Prestation de Service (LPS). Vous trouverez son numéro à 8 chiffres attribué par l'Orias sur l'ensemble des documents de l'intermédiaire ainsi que sur son site Web (dont dans toutes ses clauses et mentions légales). En cas d'absence ou de divergence entre son nom du domaine (son URL) et son nom affiché, soyez méfiant (une société peut avoir un nom du domaine différent de sa « raison sociale » si le nom de domaine était déjà pris ou sa « raison sociale » trop longue, etc.).

La plateforme de paiement en ligne fait intervenir la banque du vendeur, la banque de l'acheteur et le réseau du moyen de paiement utilisé :

  1. Réseau Carte Bleue
  2. Réseau Visa
  3. Réseau MasterCard
  4. Réseau American Express
  5. Réseau Paylib
  6. Réseau Cofinoga
  7. Réseau Diners Club
  8. Réseau PayPal
  9. Réseaux des chèques vacances et similaires
  10. Paiements par virements bancaires
  11. Paiements par mandats
  12. Etc.

L'l'Orias a en charge, entre autres, la demande, auprès de l'acheteur, de la double authentification.

La plateforme de paiement en ligne prend sa commission au passage payée par le vendeur en ligne.

Voir l'article complet sur l'Orias




De très nombreux services de commentaires produits ou services d'interaction/communication sont offerts totalement gratuitement aux webmasters. Ces services peuvent être confondus/assimilés à des outils de réputation des sites marchands ou des marchandises de ces sites. Cela n'a rien à voir avec la réputation Web. Il s'agit des services de commentaires à la :

Ces services sont souvent gratuits, car ils permettent l'espionnage, la collecte et la revente des données privées des visiteurs de ces sites. Il s'agit d'un marché extrêmement juteux. Voir, par exemple :







Voici l'accès aux recherches dans la totalité des « registres des sociétés » des « tribunaux de commerce » de toute l'Union européenne. Pour certains d'entre eux, le service minimaliste gratuit est libre d'accès, pour d'autres il faut malgré tout s'inscrire en créant un compte.

En ce qui concerne la sécurité préventive/curative, comme en matière de Web réputation d'un domaine (site Web), il est important de savoir qui est l'opérateur du dit domaine (la personne physique [un individu] ou morale [une société] derrière ce site Web). Le WHOIS d'un domaine peut donner le « régistrant » du domaine. Malheureusement, le « régistrant » est souvent un prête-nom qui enregistre le nom de domaine et, pire, le « régistrant » utilise, généralement, un service d'anonymisation, depuis le début du Web et, complètement scandaleux, des dispositifs de prétendue « protection de la vie privée » obligent désormais à cette anonymisation, protégeant les cybercriminels et mettant la totalité des internautes en danger.

Il faut obliger n'importe quel éditeur à se révéler sans intermédiaire, officiellement (comme dans toutes les formes de presse), avant l'achat d'un nom de domaine, et toute faute doit être punie règlementairement immédiatement (sans procès) de manière totalement dissuasive. Ce n'est pas un frein au développement du Web, bien au contraire, le Web actuel étant considéré globalement comme un milieu hostile et dangereux, qui fait peur à cause, entre autres, de cette invisibilité des ceux qui s'expriment publiquement.

Le Registre du commerce unifié européen est développé dans les différentes langues utilisées en Europe, mais la recherche se fait par pays. Entre parenthèses le/les pays principaux de l'Union européenne utilisant cette langue. Le code langue est celui de l'IETF à 2 caractères (codes ISO 639-1 [alpha-2]). Certains pays qui avaient préalablement bien développé leurs outils de recherches dans leur Registre du commerce ont conservé, simultanément, ces outils devenus localement populaires.

Le formulaire de recherches dans toute l'Europe est paramétré en français, mais vous pouvez changer la langue.

Web réputation - recherche d'une société dans les registres du commerce européens
Web réputation - recherche d'une société dans les RCS (Registres du Commerce et des Sociétés) européens.


Accès aux recherches dans les registres de quelques autres pays, essentiellement francophones.