Jellyware

Jellyware est un terme de l'industrie informatique.

Jellyware : ce néologisme est un mot-valise (et contraction) construit par la fusion du mot anglais « jelly » (toute substance de type gel semi-solide) et du suffixe « ware » désignant un bien, une marchandise dont on fait un type. Dans l'industrie des logiciels, le rapprochement se fait avec « software » (« soft + ware »), désignant un objet « logiciel ».

Jellyware a été utilisé dans l'industrie informatique dès 1966 pour désigner les utilisateurs d'ordinateurs, souvent dans des contextes humoristiques, par analogie avec le matériel (hardware) et les logiciels (software).

Il s'agit d'un terme d'argot utilisé pour désigner les personnes utilisant des ordinateurs (attachés à), et qui est basé sur la nécessité d'un liveware (un humain), pour faire fonctionner le couple hardware + software (un ordinateur et ses logiciels).

D'autres mots signifiant la même chose, ou semblables à liveware, incluent wetware, meatware et gelelly.

Les termes Meatware et Jellyware sont le plus souvent utilisés par le personnel interne de soutien à la clientèle (les membres du SAV) comme des termes argotiques faisant référence aux humains coupables d'erreurs de manipulation (par exemple, les pupitreurs, chez les clients, étaient incendiés sous les termes de Meatware et Jellyware.

Le terme de Liveware se trouve dans les romans du Cycle de la Culture de Iain M. Banks. La Culture est une civilisation pan-galactique inventée par Iain M. Banks au travers de ses romans et nouvelles de science-fiction. Décrite avec beaucoup de précision et de détails, La Culture peut être considérée comme une utopie technique et philosophique à part entière. Il s'agit d'une société anarchiste : ni loi, ni hiérarchie, ni argent, ni propriété. Elle compte trente mille milliards d'habitants, mêlant dans une totale égalité humains, extra-terrestres, drones et intelligences artificielles. Un vaisseau de La Culture est nommé « Problème Liveware ».

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