Assiste.com
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22.01.2023 : Pierre Pinard.
Dossier : SEO et Webmastering |
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Introduction Liste Malwarebytes et Kaspersky ou Emsisoft (incluant Bitdefender) |
Sommaire (montrer / masquer) |
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Intérêt du service pour l'internaute (Les services n'existant plus sont notés 0)
Online Broken Link Checker (brokenlinkcheck.com) - Unique service proposé Recherche de liens brisés, internes ou externes (Code d'état HTTP 404 (Not Found)) sur un site Web. La présence de liens brisés a une incidence sur la vitesse des pages. |
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« Online Broken Link Checker » analyse des pages Web à la recherche d’hyperliens morts ou problématiques.
« Online Broken Link Checker » peut analyser un nombre illimité de pages *
« Online Broken Link Checker » est utile pour l'optimisation du référencement (SEO), les liens brisés (404, etc.) étant un critère de pénalisation dans les algorithmes de calcul du référencement par les moteurs de recherche.
« Online Broken Link Checker » vérifie les « URL internes » (« internal links » - « liens internes » - « liens locaux au site analysé ») et les « liens externes » (« external links » – « liens sortants ») **
« Online Broken Link Checker » indique, pour chaque lien hypertexte inactif ou problématique :
La validation se fait en ligne, de la même manière que les utilisateurs et les moteurs de recherche voient ces informations.
« Online Broken Link Checker » détecte les « linkrot » (« link rot » – liens irréparables vers des domaines qui n’existent plus – il faut rechercher des équivalents [il existe des outils automatiques pour cela] et rechercher dans les archives du Web [Wayback Machine]) et d'autres problèmes d'intégrité du site Web.
« Online Broken Link Checker » prend en charge les sous-domaines.
« Online Broken Link Checker » étant un service fonctionnant en ligne, il peut donc être utilisé avec n’importe quel système d’exploitation (Mac OSX, iOS, Linux, Windows, Android, etc.).
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Du point de vue de l'internaute, la vitesse des pages Web dépend de plusieurs facteurs dont :
La vitesse du serveur Web qui héberge le site.
La vitesse des connexions entre le serveur Web et le FAI (Fournisseur d’Accès Internet).
La vitesse du point de dégroupage (répartiteurs appelés DSLAM) proche de chez vous, dans les locaux de l'opérateur historique France Télécom (dans un rayon qui ne dépasse pas, généralement, 5 km).
La vitesse de la connexion du répartiteur à l’utilisateur (du DSLAM à votre Modem / Box, chez vous), dont le choix de l’abonnement.
Si connexion en fil de cuivre (ADSL), ii y a :
Dégradation de ces caractéristiques à cause des contraintes physiques du réseau (affaiblissement avec la distance).
Ralentissement à cause des « bruits » sur la ligne (perturbations électromagnétiques...).
Ralentissement à cause du nombre simultané d'utilisateurs se partageant le même câble.
Si connexion en fibre optique, il n'y a, théoriquement, aucun ralentissement.
Un unique fil en fibre optique supporte la circulation simultanée des données de 60 utilisateurs différents et peut alimenter tout ou partie d'un immeuble.
Un câble de fibres optiques, enterré dans la rue, comporte plusieurs dizaines ou centaines de fils en fibre optique.
La vitesse de votre modem.
La vitesse de l’appareil sur lequel est lue la page Web.
La vitesse des technologies et la qualité du code du navigateur Web qui va interpréter et afficher la page Web.
La mesure de la vitesse, par un outil de mesure, peut se faire localement par l’utilisateur, mais un trop grand nombre d’étapes intermédiaires faussent la mesure de la vitesse pure de la page mesurée. L’analyse de la vitesse pure de la page (la qualité de son code) par un service en ligne ne peut se faire que chez le fournisseur de ce service et dans des conditions strictement identiques pour toutes les mesures afin de les comparer, donner des notes et faire des hit-parades.
L’un des éléments qui influent sur la vitesse apparente d’affichage de la page, chez l’internaute, est le navigateur Web. Vous pouvez installer plusieurs navigateurs Web et faire une mesure pour chaque navigateur. Cela reste marginal et approximatif, mais… de quoi sont faits tous les navigateurs Web ?
Un navigateur Web est composé de 3 modules :
Un moteur de rendu
Un moteur de rendu (qui n'est pas le navigateur). Il calcul graphiquement et affiche le contenu Web consulté. Tous les moteurs de rendu sont open source puisqu'ils ne doivent faire, avec une stricte exactitude, tout et que ce que le W3C normalise et ordonne (et strictement rien d'autre. Ils peuvent tenter de se différencier par l'exactitude du rendu et la vitesse d'exécution. Nous avons, chez assiste.com, observé un bug dans le moteur de rendu de tous les navigateurs basés sur Chromium dont le moteur de rendu (Blink) rendait mal les flèches à droite de chaque titre de chapitre de notre site (nous avons dû modifier de très nombreuses fois le dessin de ces images pour en sortir, durant longtemps, avant de comprendre que cela venait du moteur de rendu de certains navigateurs utilisés en tests qui utilisent Blink). Le moteur de rendu Gecko du navigateur Web Mozilla Firefox (ainsi que du courriéleur Thunderbird et de dizaines d'autres navigateur Web) est meilleur et plus rapide.
Un moteur de rendu est, lui-même, composé de 3 éléments :
Le moteur de rendu HTML 5 (il en existe 3 qui doivent répondre strictement, rien de plus, rien de moins, aux directives des standards du Web édictés par le W3C. Ils sont donc tous plus ou moins identiques (Quantum, WebKit, Blink). Le 8 décembre 2018, Microsoft a annoncé abandonner le moteur de rendu d'Edge, EdgeHTML, au profit de Blink. Les 2 ou 3 autres moteurs de rendu qui restent sont en voie de disparition. J'ai rencontré un bug d'affichage dans Blink.
Le moteur/compilateur JavaScript. Il existe une course à la vitesse dans laquelle le moteur JavaScript de Firefox (Ion) sort premier (voir les captures d'écran des tests dans Firefox).
Le moteur de styles CSS (les « feuilles de style en cascade »).
Le navigateur Web proprement dit
Le navigateur Web proprement dit, qui sert à naviguer sur le Web. Mis à part celui de Firefox qui est open source, ils sont tous en code propriétaire (secret) avec interdiction contractuelle d'ingénierie inverse. C'est là que se cache tous les outils d'espionnage, suivi, surveillance, etc.
Des modules additionnels
Des modules additionnels (add-on), parfois obligatoires, parfois optionnels, aux goûts et usages de l'utilisateur. C'est du code injecté dans le navigateur. Certains sont « propres », d'autres sont de véritables espions ou de pures malveillances.
Tout cela sert :
À afficher une page Web visitée
À naviguer sur le Web
À personnaliser le navigateur
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