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Dossier (collection) : terminologies officielles françaises |
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Terme français :
Bannière (« Skyscraper »)
Genre :
n.f.
Publication au JO (Journal Officiel de la République Française) :
27 déc 2009
Terme utilisé en :
Internet
Communication
Définition officielle :
Zone d'écran plus haute que large, à vocation publicitaire, informative ou décorative, située sur un des côtés de la page d'un site.
Voir également (terme(s) connexe(s)) :
Terme(s) étranger(s)
Skyscraper (en)
Note d'Assiste :
* Les dimensions des bannières sont définies et normalisées par l'IAB et chacune porte un nom, anglophone, utilisé de manière universelle (unique) dans la profession (annonceur publicitaires, régies publicitaires et médias), sinon il serait impossible de développer des campagnes publicitaires à large couverture géographique et/ou multimedia. Il serait impossible de se comprendre entre interlocuteurs du métier dans les divers pays et les diverses langues. Cela touche également les médias, qui réservent des espaces aux dimensions normalisées mis à la disposition des annonceurs par l'intermédiaire de leurs régies qui gèrent les budgets et campagnes.
Les bannières s'affichent à l'intérieur des pages Web visitées (ou dans les programmes exécutés lorsqu'ils sont gratuits mais soutenus par de la publicité). Il n'est pas permis aux webmasters de mettre n'importe quelle surface à la disposition des régies publicitaires. Ces surfaces doivent avoir des dimensions attendues par les annonceurs. Leurs dimensions ont donc été normalisées internationalement par l'IAB - Interactive Advertising Bureau - pour des questions :
Lire également :
Bannières publicitaires et vie privée
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La terminologie informatique est constituée d'un ensemble de :
Termes
Sigles
Abréviations
Mot-valise
Elle est devenue un jargon métier inventant des mots et expressions au fur et à mesure que les branches de cette science née de la guerre de 1939/1945 évoluent :
Technologies
Techniques
Produits (dont les logiciels et les matériels)
Services
Mises en œuvre de ces technologies, techniques, produits et services
Normes
Notions
Etc.
La volonté de domination de cette science, par les États-Unis, les conduit à racheter, partout dans le monde, ce qu'ils n'ont pas inventé eux-mêmes. Ils le font pour diverses raisons, dont des finalités économiques, industrielles, commerciales, géopolitiques, etc., passant par l'espionnage (caché dans l'informatique, l'Internet, les communications, etc.) du monde entier et des populations mondiales dans leurs intégralités.
Il en résulte une avalanche de nouveaux termes (néologismes) anglais, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Ceci est accentué par le fait que la langue anglaise est devenue la langue des échanges, des sciences et des techniques. Par exemple, les langages de programmation utilisent tous un lexique anglais, et si un inventeur français développe un langage de programmation, il le fera sur la base d'une lexicographie anglaise, sinon, aussi géniale que soit son invention, elle sera ignorée.
La totalité des acteurs des sciences de l'informatique et des télécommunications, et la totalité des utilisateurs de ces sciences (tous les particuliers de tous les pays du monde, toutes langues confondues) manipulent ces termes anglais, sinon, nous ne nous comprendrions pas.
Les deux plus grands défenseurs de la langue française, les gouvernements français et québécois, ont mis en place des organismes publics pour formuler des néologismes français. S'ils sont simplement recommandés à tous, ils sont obligatoires dans les documents rédigés par les administrations (Loi dite « Loi Toubon » : Décret no 96-602 du 3 juillet 1996 relatif à l'enrichissement de la langue française). Ces organismes publics sont :
Au Québec : Office québécois de la langue française.
En France : Commission spécialisée de terminologie et de néologie de l'informatique et des composants électroniques.
En France, une fois publiés au Journal Officiel de la République française, les usages des termes officiels sont rendus obligatoires dans les administrations françaises et dans les services publics.
Certains termes proposés sont totalement inattendus, voire ridicules, et s'opposent à un principe : éviter à l'utilisateur, de la façon la plus simple possible, toutes les (mauvaises) surprises.
Principe de moindre surprise
Principe de surprise minimum
Principle of Least Astonishment (étonnement minimum) ou PoLA
Principle of Least Surprise (surprise minimum) ou PoLS
Cela se rapproche du principe du « Rasoir d'Ockham » (« Pourquoi faire compliqué lorsque l'on peut faire simple » ou « Principe de simplicité » ou « Principe de parcimonie » ou « Principe d'économie », principe mis en avant, par exemple, pour fustiger certaines mises en place de termes français incompréhensibles dans la Terminologie française officielle.
Ludwig Wittgenstein, dans son « Tractatus logico-philosophicus » publié en 1921, écrivait : « Si un signe n'a pas d'usage, il n'a pas de signification. »
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