Assiste.com
cr 01.01.2012 r+ 22.10.2024 r- 22.10.2024 Pierre Pinard. (Alertes et avis de sécurité au jour le jour)
Dossier (collection) : Encyclopédie |
---|
Introduction Liste Malwarebytes et Kaspersky ou Emsisoft (incluant Bitdefender) |
Sommaire (montrer / masquer) |
---|
En exagérant à peine, les RG (Renseignements Généraux), qui n'existent plus, pratiquaient :
Un faible espionnage.
Par un faible nombre d'espions.
Sur un faible nombre de personnes très ciblées.
En prenant des notes sur des fiches cartonnées (des bristols).
En écrivant à la plume d'oie (à la gomme et au crayon).
Pour informer quelques très rares membres, très triés, de l'État français.
Les Renseignements Généraux (RG) étaient chargés d'informer l’État sur les hommes et les femmes jouant un rôle significatif en matière politique, économique, sociale, et religieuse... Ils étaient chargés de faire de la surveillance (tracking) et du profilage (profiling) et, beaucoup plus rarement, de véritables actions d'espionnage (plutôt du contre-espionnage après la Seconde Guerre mondiale).
Vous avez tellement eu peur d'être fiché aux Renseignements Généraux (les RG) et vous vous êtes tellement offusqués des pratiques de secret et de surveillance des Renseignements Généraux ! Vous avez tellement craint que l'on découvre et note, sur des fiches en papier, vos tendances et penchants, vos actes et convictions, vos lectures et maladies, vos rencontres, vos fréquentations... Vous avez tellement craint qu'un employeur, un conjoint, un état, une secte... se procure votre fiche des Renseignements Généraux.
Alors... nos parents n'en ont pas voulu ! Ils se sont battus, avec leurs bulletins de vote et leurs députés, descendus dans la rue (1) pour faire abolir ce service de renseignements par l'espionnage, français, dépendant de la Direction générale de la Police nationale.
Des modifications ont eu lieu (il a fini par revenir sous un autre nom, car « savoir » est une nécessité dans un monde de défiance), mais un nouveau truc est né, le Web, plus insidieux, plus silencieux, plus sournois, totalement universel au niveau mondial, avec une mémoire infinie, avec une instantanéité dont on ne pouvait pas rêver, sans aucun coût, mais même avec des bénéfices... la part cachée et silencieuse du monde numérique dont le moindre mal (car il y en a bien d'autres) est le tracking suivi du profiling de la totalité des individus connectés.
|
Historiquement, selon les historiens, les RG sont les héritiers des « commissaires spéciaux » de la Révolution et de l'Empire. Ils devaient « surveiller l'état d'esprit de l'opinion publique », selon les textes de l'époque, et renseigner le gouvernement et les préfets. Cette mission première a perduré avec la surveillance des mouvements sociaux et d'agriculteurs dans les départements toujours au service des préfets.
Ils en ont hérité le surnom de « grandes oreilles » du gouvernement ou de « météorologues de l'opinion » selon Jules Moch, deux fois ministre de l'Intérieur sous la IVème République. Du fait de la surveillance des activités politiques, unique en Europe, les RG ont aussi été fréquemment qualifiés de « police politique », une étiquette qu'ils ont toujours réfutée.
« En tout cas pas au sens totalitaire du terme », avait temporisé Yves Bertrand à l'AFP, fin 2007, au moment de la publication de ses mémoires après douze années à la tête des RG sous huit ministres de la Vème République.
Des affaires retentissantes ont émaillé leur histoire : disparition jamais élucidée, en 1990, du pasteur Joseph Doucé, espionnite d'un conseil national du Parti socialiste en 1994, « corbeaux » dans des enquêtes « parallèles » à certaines instructions politico-financières.
A intervalles réguliers et fréquents, la gauche comme la droite ont vainement réclamé ou annoncé leur suppression.
Extrait de L'Express
|
Les Français ont réussi à faire disparaître les RG. Ils sont, depuis le 1er juillet 2008, noyés dans un truc encore plus vaste : la « Direction Centrale du Renseignement Intérieur » (DCRI), qui regroupe les anciens Renseignements Généraux (RG) et la Direction de la surveillance du territoire (DST) et forme, à ce titre, le plus important service de renseignements intérieur français.
Les Français ont réussi à faire disparaître le projet de fichier EDVIGE (remplacé par EDVIRSP)...
Mais que croyiez-vous ? Le travail de plus de 100 ans des Renseignements Généraux (RG), de 1907 à 2008, n'aura jamais réussi à produire que quelques lignes, sur des fiches cartonnées, portant sur très peu d'entre vous (on parle de 2,5 millions de fiches en 101 ans d'existence, soit 68 fiches par jour par 4130 fonctionnaires, donc 0,01 fiche par jour et par espion français).
Les RG (Renseignements Généraux) ont été forts (au plus fort ?) de 3 450 fonctionnaires auxquels il faut ajouter ceux de la Préfecture de Police de Paris (680 fonctionnaires), soit 4130 fonctionnaires (chiffres 2007 selon Wikipédia).
S'ils ont rédigé 2,5 millions de fiches en 101 ans, cela donne une productivité de 2 500 000 / (101 * 365 * 4130) soit à peine plus de :
0,01 fiche par jour et par « espion », sur autorisation de justice.
Or nous sommes descendus dans la rue, nous avons saisi nos députés, etc. pour obtenir l'abolition de ce service d'espionnage qui portait si légèrement atteinte à notre vie privée, en ayant quelques malheureux agents qui filaient quelques malheureux individus qui avaient sorti la tête hors de l'eau.
Sur le Web, né le 6 août 1991, il n'y a qu'environ 5,5 milliards d'internautes fin mars 2022 (66% de la population mondiale). Les États et les opérateurs, Google en tête, oeuvrent pour que la totalité de la population mondiale soit connectée le plus rapidement possible et pour que tout et n'importe quoi soient connectés en permanence (objets connectés). On les comprend, il est tellement facile de pénétrer et analyser tout ce qui est numérique, il y a tellement de failles de sécurité à exploiter partout : depuis les smartphones et les tablettes jusqu'aux montres, lunettes, réfrigérateurs, voitures, vélos, porte-monnaie, chaussures, compteurs électriques, ouvertures de portes, décodeurs télé, radios numériques, presse numérique, images numériques, vidéos numériques, audios numériques, etc. Vive l'abandon de tout ce qui n'est pas numérique.
Ce qu'ont fait les RG est de la roupie de sansonnet par rapport à ce que font les pratiquants du tracking et du profiling. Vous devez bien comprendre que vous avez, aujourd'hui, une meute d'agents de sociétés et officines plus ou moins obscures à vos trousses nuit et jour, partout. Et ce qu'ils font va bien plus loin, bien plus vite, et sur un spectre bien plus large que ce que faisaient les RG qui font figure d'enfants de chœur boutonneux à côté.
Ce que capturent les outils d'espionnage (les outils de tracking) n'est pas trié ni sélectif, c'est impossible. Ils capturent tout ! Cela ne concerne pas uniquement ce que quelques-uns d'entre eux ont besoin pour choisir quelle pub afficher sur la prochaine page visitée. Tout est capturé et stocké, depuis des années, dans des bases de données infinies. Des logiciels très spécialisés, relevant des méandres intellectuels des experts en profilage et psychiatrie, des mathématiques statistiques et du Big Data, permettent de dresser les profils de chaque internaute du monde (la totalité des individus de la planète est visée à terme rapproché).
Ces fiches de renseignements sont vendues à qui paye pour les avoir...
On sait tout de vous tous, qui vous fréquentez (« Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es. » ou « On juge une personne d'après la société qu'elle fréquente. »), ce que vous lisez, ce que vous regardez, ce que vous dites, ce que vous mangez, ce que vous pensez, ce à quoi vous croyez, là où vous allez, là où vous êtes, ce que vous gagnez, ce que vous devez, ce que vous craigniez, ce que vous avez fait, ce que vous allez faire...
Il y a plusieurs milliers de sociétés et officines qui pratiquent ce que faisaient les RG, mais en mieux, en temps réel, silencieusement, 24/24, 7/7, contre tous et chaque internaute du monde à la fois (voir les statistiques Web). Des outils comme Ghostery en inventorient plus de 2000, ou Disconnect plus de 5000. Au moins 150 de ces sociétés et officines sont, chaque jour, sur le dos de chaque internaute, en train de l'espionner.
|
Nous avions une vie privée du temps des RG, avant l'Internet !
Alors, pourquoi restez-vous passif lorsque des cyberacteurs, criminels ou étatiques, et des sociétés commerciales innombrables, s'introduisent dans vos ordinateurs, vos modems, vos télécommandes, vos téléphones... avec des conséquences bien plus douloureuses que celles des Renseignements Généraux (RG), qui font figure d'enfants de chœur à côté de ce qui se passe dans vos appareils... maintenant, tandis que vous lisez ces lignes ! Oui, vous ! 100% d'entre vous !
Et maintenant :
Ce ne sont même plus des logiciels espions, des spywares et autres rootkit et outils de tracking (que l'on arrive à bloquer et éradiquer), qu'il faut craindre. Le matériel lui-même espionne, nous surveille, communique nos faits et gestes et nous bloque. Que croyez-vous que soient les DRM (la gestion des droits numériques - les droits d'auteur), directement dans les composants électroniques des lecteurs, sous prétexte de protéger les droits (des maisons d'édition, pas des auteurs) !
Ce sont les logiciels de base (système d'exploitation, moteurs de recherche, navigateurs, tous les logiciels...) qui tentent, petit à petit, d'être déplacés vers des machins appelés « Clouds » où nous ne pourrons absolument plus les surveiller et les décontaminer (sous prétexte de mise à jour et d'antipiratage) ! Et ils veulent même que nos données, toutes nos données, soient déportées chez eux, dans leurs « Clouds », pas stockées privativement, chez nous, dans nos appareils ! Sont mis en avant :
Leurs conditions générales d'utilisation, sur lesquelles on ne peut pas discuter, tendent même à les rendre propriétaires de nos données privées et nous allons payer pour les consulter ! Nous marchons sur la tête, mais personne ne bouge ! Faites l'inventaire des anti-clouds ! Qui bouge ? Où ?
C'est vous-même qui donnez « gratuitement » vos données privées, vos profils... Ils se payent même des pubs à la télévision : « Faites votre profil gratuitement » ! C'est du délire ! Vous vous en foutez ! Oui, vous vous en foutez ! Vous n'avez rien à cacher et cela n'a aucune importance. Facebook entre en bourse et monétise vos données privées à hauteur de plus de 104 milliards d'US$ et vous vous en foutez ! Réveillez-vous !
Vous êtes fichés et vous vous en fichez !
À l'école de « Pas vu - Pas pris », tous les moyens sont bons puisque :
Vous savez, mais ne voulez pas savoir.
Vous voyez, mais ne voulez pas voir.
Vous entendez, mais ne voulez pas entendre.
Vous parlez pour dire que vous n'élèverez pas la voix.
Car, fataliste, vous vous êtes convaincu que vous n'y pouvez rien, n'y pourrez jamais rien !
Et de quoi se mêle Assiste.com ? Que ma vie privée soit privée alors que je la veux publique ? Je veux avoir 2 millions d'amis (c'est quoi un « ami » ?) sur Facebook pour devenir quelqu'un au lieu d'être celui que je suis ! Je veux n'être qu'un pion lancé par d'autres dans l'arène pour me faire dévorer.
|
S'adresser à la CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés).
Comme pour tous les fichiers de police ou de gendarmerie, il faut passer par l'intermédiaire de la CNIL pour savoir si vous êtes fiché aux RG : cette procédure s'appelle le « Droit d'accès indirect aux données ». Pour cela, vous devez adresser au président de la CNIL une lettre demandant de vérifier si vous êtes fiché par les RG et précisant vos domiciles successifs, en y joignant la copie d'un titre d'identité. La CNIL désigne alors un de ses membres pour effectuer les vérifications que vous avez demandées et si besoin la CNIL procède à des rectifications, par exemple lorsque des données s'avèrent inexactes. La CNIL vous informe ensuite par courrier du résultat de ses investigations.
En pratique, trois situations peuvent se présenter :
Si les RG ne détiennent aucune information sur vous, la CNIL vous en informe.
Si les RG détiennent des informations sur vous, mais que ces informations ne mettent pas en cause la sûreté de l'État, la défense et la sécurité publique, elles vous sont communiquées, en accord avec le ministère de l'Intérieur. Vous avez ensuite la possibilité de demander des suppressions ou des mises à jour.
Si les RG détiennent des informations sur vous, mais que ces informations mettent en cause la sûreté de l'État, la défense et la sécurité publique, elles ne vous sont pas communiquées, mais la CNIL vous informe qu'elle a effectivement procédé aux vérifications. Dans ce cadre la CNIL effectue en effet un examen approfondi de votre dossier et demande, s'il y a lieu, la rectification ou l'effacement de données.
Il existe également la CADA (Commission d'accès aux documents administratifs), créée en 1978 pour assurer la bonne application du droit d'accès.
|
Paris - Lundi, 30 Juin 2008 11:53 , THE ASSOCIATED PRESS Internationales
« Police politique », « barbouzes », « machine à scandales », les nombreux sobriquets donnés aux « Renseignements généraux » français démontrent l'animosité et parfois les fantasmes suscités par un service de police controversé, fusionné à compter de mardi avec la Direction de la Surveillance du Territoire (DST) dans la nouvelle Direction Centrale du Renseignement Intérieur (DCRI).
Les RG disparaissent après un siècle d'existence. Apparue sous la IIIe République en 1911, la Brigade des Renseignements généraux (BRG) n'est jamais passée à la postérité comme les « Brigades du Tigre », devenus les héros de la police judiciaire.
À l'époque, ces policiers de l'ombre, ancêtres des « commissaires spéciaux » de la Révolution, sont chargés de surveiller l'état de l'opinion, de recenser les rumeurs et de prévenir les mouvements contestataires d'obédience royalistes, bonapartistes, anarchistes et révolutionnaires. Confirmés par le Front populaire, les RG sont officialisés par une loi du 23 avril 1941 sous le régime de Vichy qui les utilise pour traquer les juifs, les communistes et les résistants.
Avec la guerre froide, les conflits coloniaux, les « événements algériens » et l'agitation sociale, les RG se développent et luttent notamment contre les actes terroristes. Ils sauvent in extremis leur tête après l'arrivée au pouvoir de François Mitterrand, méfiant avec cette police chargée de surveiller les partis politiques. Une tâche qu'elle abandonne d'ailleurs en 1994 lorsqu'elle se fait pincer en train d'espionner le Conseil national du Parti socialiste de la Villette...
Ce scandale intervient quatre ans après la mort de Jacques Doucé, le pasteur des homosexuels, des transsexuels, et des pédophiles, découvert en 1990 dans la forêt de Rambouillet. La victime aurait été en lien avec des personnalités aux mœurs sexuelles déviantes... Un inspecteur des RG, chargé de sa surveillance, apparaît vite comme le suspect No1. A-t-il voulu éliminer un homme trop gênant ? Le policier nie ces accusations et soutient même que sa hiérarchie lui a ordonné de recruter de jeunes prostitués pour compromettre trois personnalités.
L'affaire fera long feu. Révoqué, le policier sera condamné à vingt mois de prison avec sursis pour avoir tiré dans la porte d'un informateur proche du pasteur Doucé...
Les RG refont la une de l'actualité entre 1993 et 1997 lorsque le juge Éric Halphen reçoit plusieurs courriers d'un « corbeau » accusant les RG de lui dissimuler des informations sur le financement occulte du RPR.
Selon Yves Bertrand, l'inoxydable patron du service entre 1992 et 2004 et auteur du livre « Je ne sais rien... mais je dirai presque tout », les policiers se seraient retrouvés otages d'une bataille entre les clans Chirac et Balladur. « Il n'y a pas de place dans la République pour une police politique », assure Lionel Jospin en juin 1997 dont la menace de dissolution sera vite oubliée.
Cinq ans plus tard, Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur, supprime, lui, les « blancs », l'arme préférée des RG. Ces notes volantes, non signées et sans entête, pouvaient circuler sans respecter les voies hiérarchiques jusqu'aux bureaux ministériels. Et donnaient parfois lieu à des enquêtes basées sur de simples rumeurs.
« La culture du secret fait partie du 'savoir-faire' RG », admet Christophe Dumont, l'un des responsables du Syndicat national des officiers de police (SNOP), qui a passé 15 ans dans ce service de police. « Le secret est parfois nécessaire lorsqu'on veut préserver les intérêts de la société. »
Chargés d'informer l'État sur les hommes et les femmes jouant un rôle significatif en matière politique, économique, sociale, et religieuse, les Renseignements généraux ont aussi établi près de 2,5 millions de « fiches » de personnes morales et physiques. En janvier 2007, ils se sont ainsi vus accuser d'avoir actualisé la « fiche » de Bruno Rebelle, le patron de Greenpeace France, recruté dans le staff de Ségolène Royal, candidate à l'élection présidentielle.
Ce travail de renseignement en « milieu ouvert » sera désormais assuré par une Sous-direction de l'information générale (SDIG), au sein de la Direction centrale de la sécurité publique (DCSP). La lutte contre le terrorisme, où les RG se sont notamment illustrés en permettant l'arrestation d'Yvan Colonna, et l'intelligence économique, sont désormais dévolues à la nouvelle Direction Centrale du Renseignement Intérieur (DCRI). « Je ne ressens pas de nostalgie chez les collègues des RG », conclut Christophe Dumont. « Avec l'internationalisation des risques, une réforme du renseignement était nécessaire et il fallait un outil adapté. »
© La Presse Canadienne, 2008 (ce domaine n'existe plus et le nom de domaine est en vente - vérification du 31.10.2023 - la page d'origine n'a pas été sauvegardée dans les archives du Web)
|
Alors que la réforme de 2008 avait dissout les « Renseignements généraux » et dispersé ses effectifs dans différentes administrations, en décembre 2014, le gouvernement Valls a réformé un service des « Renseignements généraux » appelé « Service central du renseignement territorial » (SCRT) chargé de renseigner le gouvernement sur l'état de l'opinion et les mouvements sociaux. Le rapport parlementaire précise selon plusieurs sources que « les renseignements recherchés concernent tous les domaines de la vie institutionnelle, économique et sociale susceptibles d'entraîner des mouvements revendicatifs ou protestataires ». Le Service central du renseignement territorial (SCRT) reste malgré tout rattaché à la Direction de la Sécurité Publique (DSP) contrairement à la DCRG qui était une direction à part entière. En outre, les contestations relatives aux ZAD sont l'une des motivations de cette régénération des « Renseignements généraux » comme l'indique l'allocution du 17 juin 2013 du ministre de l'Intérieur Manuel Valls en ces termes : « Parallèlement, d'autres menaces doivent être prises en considération, comme celles issues de certains mouvements contestataires animalistes, environnementalistes, antinucléaires. »
|
Les encyclopédies |
---|