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Dernière date de publication : 01.01.1999 - (Sat, 2 Feb 2019 00:31:53 +0100)
Dernière date de révision majeure : 02.02.2019
Press release – Communiqué de Presse
A Paris (France) – le 09 septembre 1999
Mise à jour 22.07.2018 - Traduction des versets 22 et 23.
La découverte remonte au milieu des années 1970 et est classée « secret défense ».
Le document suivant est le seul actuellement autorisé et il reste volontairement vague, le plus grand secret entourant la découverte.
La découverte porte sur du matériel et des matériaux qui furent, initialement, considérés comme de simples tissages dans ce qui semblait être un atelier de tissage médiéval (vieux de 1000 à 1500 ans) ayant assez mal résisté aux épreuves du temps.
La découverte est antérieure de quelques années à ce communiqué de presse (milieu des années 1970). Aucune autre information ne sera donnée.
Aucun élément permettant de localiser géographiquement la découverte ne sera donné.
La découverte s'est faite dans une grotte dite, depuis, la « Grotte de la Fileuse d'Octets ».
Plusieurs datations ont été tentées :
Une partie de la découverte porte sur de grandes quantités de ce que nous avons pris, au premier regard, pour de microscopiques « perles » passant sur des fils tendus sur des cadres (fabrication de colliers ou de fragments de tissages devant ensuite être assemblés pour former des vêtements ou des draperies ?). Toutefois, une fois que l'on a commencé à toucher au matériel et prélever des échantillons, il s'est avéré que les « fils » n'avaient rien à voir avec du coton ou de la soie, mais étaient d'infiniement fins fils métalliques.
La conductivité des fils et le magnétisme des perles, dès qu'ils furent détectés, conduisirent rapidement à des échafaudages d'hypothèses plus folles les unes que les autres, dont celles de technologies avancées ou extra-terrestres ou encore celles de civilisations ou sectes perdues (l'Atlantide faisant partie du lot).
Après analyses en laboratoire, il s'est avéré que les microscopiques « perles » étaient, en réalité, de microscopiques anneaux et, fait boulversant toutes les idées et savoirs, constitués d'un matériaux magnétisable et à forte rémanence : de la ferrite. Or la ferrite n'existe pas à l'état natif et est un matériaux fabriqué. C'est une céramique magnétique composée d’oxydes binaires de la forme MFe2O4, où M représente un ou plusieurs métaux (nickel, manganèse, zinc, magnésium, cuivre), employée dans les mémoires des premiers ordinateurs, dans les années 1960. Ces « tores de ferrite », de l'ordre du millimètre, firent penser, initialement, à des milliers de microscopiques bagues parfaitement circulaires qui auraient été enfilées. Elles semblaient « en vrac », comme provenant de dizaines de colliers, initialement alignés côte à côte, et dont les fils metalliques les supportant se seraient dégradés avec le temps. La section de chaque anneau est parfaitement circulaire.
L'observation montre qu'en réalité ces « tores de ferrite » étaient organisés par paires de groupes de 4 tores et, d'après les traces retrouvées, on pense avoir pu reconstituer valablement ces groupes qui étaient « tissés » dans des cadres métalliques non ferreux (a-magnétique) mesurant approximativement 40cm sur 60cm. Ce n'est pas sur un fil que les « tores de ferrite » étaient enfilés mais sur trois fils traversant chaque tore. Une série de fil est verticale, tous les 2 millimètres, une série horizontale tous les 2 millimètres environ également et une troisième série est en diagonale. Le tout semble former, à la première observation, un tissage ou un tissu. Toutefois, verticalement, l'ensemble forme des « bandes » de 4 tores, un espace, 4 tores, un espace etc. et, toutes les 2 « bandes verticales », l'espace est double. On est donc en présence de groupes de 2 bandes de 8 tores (2 fois 4 tores) d'où le nom de « Fileuse d'octets » donné au lieu de la découverte. Au total il y a 64 fils verticaux et 256 fils horizontaux par cadre soit 16.384 tores par cadre. La découverte porte sur, probablement, plusieurs dizaines de ces cadres, effondrés les uns sur les autres, et leur « lecture » est délicate si tant est qu'une rémanence magnétique est encore détectable et qu'on le remonte/lit dans le bon sens. Les restes, très dégradés, des fils, montrent qu'il s'agit de fils métalliques conducteurs.
On se perd actuellement en conjectures sur la signification et la destination de cette organisation et de ces 3 fils, apparemment des conducteurs isolés.
La grotte, située en France, a été nommée « La grotte de la fileuse d'octets » en rapport avec cette organisation semblant majoritaire de 2 fois 4 tores soit un octet.
Ce que l'on a appelé les « versets » formant un Codex est écrit (micro gravé) sur un ensemble de « tores de ferrite » plus gros (diamètre d'environ 5 millimètres, section de l'anneau quasi rectangulaire, arrêtes abattues) et mieux conservé (découvert à part du reste du matériel et semblant avoir bénéficié d'une protection renforcée). Ils semblent constituer un ensemble de préceptes basés plutôt sur des interdits ou des mises en garde dans un cadre pas encore déterminé (on ne sait pas s'ils s'adressent à une communauté entière ou à ses seuls « chefs » ou à un « clergé » et on ne sait rien de la communauté elle même si tant est qu'il y en ai eu une). La langue utilisée est un proto-sanscrit qui, à elle seule, est un sujet d’étude et une énigme.
Son attribution est actuellement un sujet d'étude (certains versets décryptés font penser à des « commandements » d'une communauté militaire ou d'un service de renseignements (écouter les conversations...), d'autres à ceux d'un ordre religieux, d'autres à une société secrète (des contrôles te méfieras...), d'autres encore relèveraient de préceptes purement civils...). Une attribution provisoire de fantaisie a donc été faite en attendant et l'ensemble est « attribué » à un inconnu, personne physique ou communauté d'individus, nommé "Assiste" en hommage à son co-découvreur, le Webmaster du site Internet Assiste.com, qui a beaucoup travaillé sur ces tores et continue de le faire.
Les « versets » gravés sur les tores, selon une technique inexpliquée pour l'instant (on évoque un improbable micro-laser), se révèlent uniquement en présence d'une source de chaleur intense. On ne connaît pas leur ordre exact, si tant est qu'il y en ait un (mais on les retrouve dans les papyrus évoqués plus hauts). On ne connaît pas non plus leur signification bien que certains fassent penser à une communauté qui verrait des espions partout.
Un prénom féminin est clairement identifié dans l'un des versets : Hélène. On ne pense pas qu'il s'agisse d'un nom de lieu. Cette communauté pourrait avoir eu une Hélène comme guide ou prêtresse ou déesse.
Aucun document, aucune information n'est autorisé. Sont reproduits ci-après les versets considérés actuellement comme déchiffrés.
Vingt-et-un « versets » ont pu être déchiffrés et, puisqu'ils semblent constituer un code de conduite, un codex de préceptes, ils ont été rapprochés ici, un par un, des formes associales que nous connaissons sur le Web (des espions partout) et on donc été appelés le « Codex Internautus Anonymus ».
Deux nouveaux « versets » ont été traduits en juillet 2018.